gastipannier - TPE ADOPTIONNous sommes Chaïma et Sarah, élèves de PREMIÈRE ÉCONOMIQUE ET SOCIALE. Dans le but de notre TPE (travaux personnels encadrés)nous avons pris la décision de créer ce blog afin d'informer les personnes qui nous entourent ainsi que nos professeurs sur notre sujet qui est : L'adoption. Tout au long de ce blog, nous verrons tous les principes de l'adoption ...Cowbloghttp://gastipannier.cowblog.frMon, 04 Mar 2013 18:58:14 +0100180ADOPTION TPEThu, 04 Apr 2013 15:11:00 +0200Thu, 04 Apr 2013 15:11:00 +0200http://gastipannier.cowblog.fr/adoption-tpe-3226859.htmlchaimasarah 

Nous sommes Chaïma et Sarah, élèves de PREMIERE ECONOMIQUE ET SOCIALE.
Dans le but de notre TPE (travaux personnels encadrés) nous avons pris la décision de créer ce blog afin d'informer les personnes qui nous entourent ainsi que nos professeurs sur notre sujet qui est : l'adoption.

 


Tout au long de ce blog, nous verrons tous les principes de l'adoption ...



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SOMMAIRE:

--->Introduction
--->Histoire de l'adoption
--->Qui peut adopter?
--->Les homosexuelles peuvent-ils adopter un enfant?
--->Sondage pour ou contre l'adoption de parent homosexuelle
--->Les étapes de la demande
--->Adoption simple-ou-adoption-plénière
--->Si j'adopte en françe
--->Si j'adopte à l'étranger
--->Pays dans lesquels les français adoptent des enfants
--->Les coûts de l'adoption
--->Adoption illégale
--->Arche de Zoé (1)
--->Arche de Zoé (2)
--->Arche de Zoé (3)
--->Sociologie
--->Les difficultés rencontrées
--->Les solutions trouvées
--->Insertion de l'enfant dans la société
--->L'enfant et sa vie sociale
--->Témoignage
--->témoignage d'un avocat
--->témoignage d'une famille
--->Conclusion




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Pour commencerThu, 28 Mar 2013 12:11:00 +0100Thu, 28 Mar 2013 12:11:00 +0100http://gastipannier.cowblog.fr/pour-commencer-3225680.htmlchaimasarahhttp://gastipannier.cowblog.fr/images/enfantsdumondemonlogo2.png

De nos jours, l'adoption internationale représente plus de 80% de l'adoption de France (soit environ 3504 enfants adoptés à l'étranger) La France est le troisième état d'accueil d'enfants adoptés a l'étranger après les Etats-Unis et l'Italie, c'est pourquoi nous pouvons dire que l'adoption est un phénomène de société. Chaque année, plus de 10 000 demandes d'adoptions sont déposées en France, ce qui a presque doublé en 15 ans et sur toutes ces demandes déposées, 8000 agréments sont délivrés car les autres renoncent à l'adoption ou se voit opposer un refus et seulement 2500 enfants pourrons être adopter. L'adoption recouvre plusieurs types de relations: le sens le plus courant est l'adoption d'un enfant (adopté) par un ou des parents (adoptant(s)) qui ne sont pas biologiquement le(s) sien(s). L'adopté est généralement un enfant abandonné, plus rarement un orphelin. L'adoptant peut être un couple ou un célibataire. Ce n'est pas forcément une personne qui ne peut avoir d'enfant, c'est aussi une personne ou un couple, qui décide ce type de parentalité. L'adoption peut être:

- Nationale : L'adoptant adopte un enfant de son pays
-Internationale : L'adoptant adopte un enfant dans un pays étranger au sien



 Parce que être adopté ou être parents adoptifs n'est pas un tabou, c'est une chance d'avoir une famille de l'amour et une stabilité c'est pourquoi nous allons nous demander quelles sont les procédures et les différentes étapes de l'adoption et notamment comment se fait l'intégration des enfants adoptés au sein de leur famille et dans leur scolarité.


A travers ce blog, nous aborderons les questions suivantes : 


*Quelles sont les différentes démarches pour adopter ?

*Combien de temps prend une procédure d'adoption ?

*Quelles-sont les différentes étapes ?

*Il y a t-il des critères pour adopter ?

*Il y a t-il plusieurs formes d'adoptions?

*Ou sont placés les enfants qui ne sont pas adoptés ?

*Existe t-il des adoptions légales et illégales ?

*Faut-il cacher ou non l'adoption à son enfant ?

*Un enfant adopté peut-il retrouver ses parents biologiques ?

*L'adoption, un acte social ou égoïste ?

*Quels sont les pays les plus adoptants et ou l'on adopte le plus dans le monde ?

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Histoire de l'AdoptionWed, 27 Mar 2013 12:11:00 +0100Wed, 27 Mar 2013 12:11:00 +0100http://gastipannier.cowblog.fr/histoire-de-l-adoption-3226771.htmlchaimasarahEn droit de la famille, l'adoption du latinadoptare (étymologiquement : adoptare, « à choisir ») signifie « donner à quelqu'un le rang et les droits de fils ou de fille ». Autrement dit, l'adoption est une institution par laquelle un lien de famille ou de filiation est créé entre l'adopté, généralement un enfant et le ou les adoptants, son/ses nouveaux parents qui ne sont pas ses parents biologiques. L'adopté devient l'enfant de l'adoptant (lien de filiation) et obtient donc des droits et des devoirs moraux et patrimoniaux.
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Connue depuis la plus haute antiquité, l'adoption ne sera pratiquée couramment qu'à partir des romains. A Rome, l'Adoption peut être dite « impériale » et avoir pour but la désignation d'un successeur officiel. Elle concerne donc généralement des adultes qui sont adoptés par un autre adulte n'ayant pas descendance à qui transmettre leur patrimoine.

.......................................................................................................................................................................................................................................................................................Avec

La fin de l'Antiquité, l'adoption disparait en Europe est même interdite dans certaines conditions. L’adoption médiévale, qui était juridiquement instituée comme filiation fictive, ne pouvait avoir lieu que si l’adoptant était en état de procréer, ce qui interdisait l’adoption aux eunuques et aux impuissants

. De même, il était « contraire à la vérité » et impossible selon la nature que l’adopté fût considéré comme le fils fictif d’un adoptant qui aurait été plus jeune que lui parce que, dans la nature, le père est nécessairement plus âgé que le fils. 

 

En principe, il revient aux seigneurs hauts justiciers de financer le placement des enfants abandonnés mais ils s’en déchargent le plus souventauprès des religieux ou religieuses. L’église s’efforce de secourir les enfants trouvés ou orphelins mais jusque sous le règne de Louis XIII, il semble qu’il n’existe pas vraiment
d’institution spécifique pour recueillir ce type de population. En 1638, St Vincent de Paul et Louise de Marillac créent l’oeuvre des enfants trouvés à Paris. Sous leur impulsion d’autres institutions de ce type verront le jour à travers la France. Mais dans la plupart des villes, là où il existe un hôpital général ou hospice, les enfants lui sont confiés. Ils y grandissent au milieu des malades et des indigents. L'orphelinat est à l'origine un hospice pour enfant, un édifice accueillant des enfants mineurs sans parents, sortis de la tutelle parentale, issus de famille en difficulté ou victime de maltraitances. Le terme « orphelinat », ancien centre d'accueil pour les orphelins ou demi-orphelins, n'existe plus aujourd'hui, en France. Il a été remplacé par « foyer de l'enfance ».
Les orphelinats étaient autrefois très répandus en Occident et étaient souvent gérés par
des congrégations religieuses. L'édifice appelé orphelinat et les pratiques coercitives qui y étaient conduites a laissé ses marques dans la culture et la toponymie.

 

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De l'autre côté de la Méditerranée, l'adoption est interdite par le droit musulman. Il s'agit d'une interprétation du verset
4 et 5 de la Sourate 33 du Coran :

 

 

« Dieu n'a pas mis deux cœurs à l'homme ; il n'a pas accordé à vos épouses le droit de vos mères, ni à vos fils adoptifs ceux de vos enfants »

« Appelez vos fils adoptifs du nom de leurs pères, ce sera plus équitable devant Dieu. Si vous ne connaissez pas leurs pères, qu'ils soient vos frères en religion et vos clients ; vous n'êtes pas coupables si vous ne le savez pas ; mais c'est un péché de le faire sciemment… ».


À sa place, il est instauré la Kafala, un système de placement sans modification de la filiation.


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Avant l'adoption dite moderne, telle qu'on la connaît depuis la seconde moitié du XXe siècle, il a existé plusieurs formes d'adoption dont les plus anciennes remontent au droit hellénique puis au droit romain. Après une longue période de marginalisation, le recours à l'adoption réapparaît, selon les pays, entre la fin du XVIIIe siècle
et le début du XIXe sièble .À l'époque de la révolution française, Hugues Fulchiron cité par Bruno Perreau dans son ouvrage « Penser l'adoption », souligne que les révolutionnaires y voient la possibilité d'« imiter la nature, créer par la puissance de la volonté une seconde nature, plus harmonieuse et plus raisonnable que la première ». Aux Etats-unis, elle prend son essor du fait de l'immigration et de la guerre de succession. En France, l'adoption moderne, dans le sens de la création d'un lien de filiation, prend son essor au terme de la première guerre mondiale

 

. Il s'agissait alors de « faire face aux pertes de guerre ». La législation évolue, toujours dans le sens de la facilitation de l'adoption, jusqu'en 1976 où est définitivement inscrite dans la loi la finalité de « faire famille ».

L'adoption internationale a pris une importance croissante depuis la seconde moitié du XXe siècle. Selon les travaux de Peter Selman elle a augmenté de 40% entre 1998 et 2004, année au cours de laquelle les vingt principaux pays d'accueil avaient reçu 45 000 enfants. On observe depuis une tendance baissière. Selon d'autres analyses portant sur les 23 principaux pays d'accueil, elles s'évaluent à 35 000 en 2008 et à 29 000 en 2010

 

. Face à cette croissance des déplacements d'enfants, la communauté internationale a pris des mesures sans cesse croissantes de réglementation et de normalisation des procédures. Elles visent à protéger les enfants et, en particulier, à faire obstacle aux trafics d'enfants.

 

Comme toute notion de droit de la famille, l'adoption reste une matière régalienne, conservant une certaine diversité selon les États mais elle fait l'objet de nombreuses conventions ou accords multilatéraux notamment pour gérer les effets des adoptions internationales.

 

 
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Qui peut adopter ?Mon, 25 Mar 2013 14:42:00 +0100Mon, 25 Mar 2013 14:42:00 +0100http://gastipannier.cowblog.fr/qui-peut-adopter-3227935.htmlchaimasarah

 

 

 

 

En France, l’adoption est ouverte à toute personne âgée de plus de vingt huit ans (mariée ou non, vivant seule ou en couple) et aux époux (non séparés de corps) mariés depuis plus de deux ans ou âgés tous les deux de plus de vingt huit ans.

 

 
L’adoption est également possible pour un seul des deux époux, s’il a plus de vingt huit ans et avec l’accord de son conjoint. Toutefois si l’un des époux veut adopter l’enfant de son conjoint, il peut le faire même s’il n’a pas vingt huit ans.

 

 

 
Les concubins (union libre) ne peuvent pas adopter ensemble un enfant. L’enfant ne peut être adopté que par un seul des concubins (qui est juridiquement célibataire). Les partenaires d’un pacte civil de solidarité (PACS) sont dans la même situation.

 

 

 

 Deux personnes doivent être mariées pour adopter ensemble un enfant. En principe, l’adoptant doit avoir au minimum quinze années de plus que l’enfant qu’il veut adopter, sauf s’il s’agit de l’enfant de son conjoint (la différence d’âge minimum exigée n’est alors que de dix ans). Le juge peut accorder des dérogations pour des écarts d’âge plus faibles.

 

 

 

 

 Tout candidat à l’adoption (français ou étranger), résidant en France, qui souhaite accueillir en vue de son adoption un pupille de l’Etat ou un enfant étranger doit préalablement obtenir un agrément délivré par le Président du Conseil général après avis d’une commission d’agrément. L’agrément est également exigé en cas d’adoption intrafamiliale, à l’exception de l’adoption de l’enfant de son conjoint

 

 

 

Dans ces conditions, l’agrément ne peut être délivré qu’à des candidats mariés ou à des candidats célibataires :

* Un candidat marié peut adopter conjointement ou seul avec l’autorisation de son conjoint.
* Un candidat non marié vivant en couple (union libre, concubinage, PACS) est juridiquement célibataire et ne peut donc adopter que seul.

 

 
 Dans les deux cas, les évaluations sociale et psychologique doivent attester que les conditions d’accueil offertes par le demandeur sur les plans familial, éducatif et psychologique correspondent aux besoins et à l’intérêt d’un enfant adopté et donc prendre en compte la composition du foyer où il sera accueilli.

 

 

 

Si le couple marié qui a reçu un agrément conjoint se sépare et que l’un des deux souhaite conserver un agrément ou si un couple non marié se marie et souhaite un agrément conjoint, ils doivent renoncer à l’agrément en cours et demander un nouvel agrément (sans devoir attendre le délai de 30 mois imposé en cas de retrait d’agrément puisqu’il s’agit d’un agrément différent).

 

 

 

Dans tous les cas, la situation matrimoniale et les conditions d’accueil étant changées, une réévaluation est nécessaire ainsi qu’un avis de la commission départementale d’agrément.

 

 

 

Lorsque le projet d’adoption concerne un enfant vivant à l’étranger, les candidats à l’adoption doivent également satisfaire aux conditions légales posées par le pays d’origine de l’enfant. Par exemple, certains pays ne permettent pas l’adoption à des personnes ayant déjà des enfants.

 

 

 

  Pour adopter un enfant à l’étranger, il faut avoir obtenu l’agrément délivré par le Président du conseil général.

 


 

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Les Homosexuelles peuvent-ils adopter un enfant?Sat, 23 Mar 2013 17:14:00 +0100Sat, 23 Mar 2013 17:14:00 +0100http://gastipannier.cowblog.fr/les-homosexuelles-peuvent-ils-adopter-un-enfant-3230703.htmlchaimasarah

 

Les députés ont adopté mardi 12 février 2013 le projet de loi sur le mariage et l'adoption pour les homosexuels.


Un vote majorité contre opposition. C’est par 329 voix contre 229 que les députés ont adopté mardi le projet de loi sur le mariage et l'adoption pour les homosexuels. Le texte, présenté par la ministre de la Justice, Christiane Taubira, sera examiné à partir du 2 avril par le Sénat, où la majorité de gauche est plus faible qu'à l'Assemblée nationale. «Cette réforme s'inscrit dans la longue lignée des réformes républicaines. Elle va renforcer l'institution du mariage», avait déclaré avant le vote le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault. Au terme de la longue bataille dans l'hémicycle, la quasi-totalité des députés de gauche ont voté pour, et l'immense majorité de l'opposition a voté contre ce texte, la plus importante réforme sociétale depuis l'abolition de la peine de mort en 1981.


En quoi le mariage est-il une avancée pour les couples homosexuels ?


Par rapport au Pacs, le mariage permet la protection du conjoint survivant en cas de décès : il devient l'héritier désigné par la loi (quand il n'y a pas de mariage, pas d'enfant et pas de testament, l'héritage va aux ascendants) et peut bénéficier d'une pension de réversion. Qui dit mariage peut dire divorce. Le passage devant un juge, qui tranchera sur les causes de la séparation et décidera d'éventuelles compensations, est une protection. Des couples français s'étant mariés dans un pays où cela est déjà autorisé pourront faire retranscrire leur union en France, même si elle a eu lieu avant le vote de la loi.

Que va changer la loi pour les couples homosexuels ayant un projet d'adoption ? 

 

La loi permettra aux époux d'adopter ensemble en France ou à l'étranger. Mais compte tenu du faible nombre d'enfants à adopter en France et du fait que de nombreux pays étrangers ne permettent pas l'adoption par des homosexuels, cela devrait rester un vœu pieux. Selon une source ministérielle, dans le cas d'un enfant déjà adopté en célibataire par l'un des membres du couple, l'autre pourra après le mariage l'adopter à son tour. La loi va aussi changer la donne pour deux personnes ayant déjà adopté ensemble à l'étranger dans des pays l'autorisant. Leur adoption devrait désormais être reconnue en France.
 

 

Que va changer la loi pour les couples ayant un désir d'enfant ?


Les couples de femmes pourront continuer d'avoir recours à l'étranger (Belgique ou Espagne par exemple) à la procréation médicale assistée (PMA), celle-ci n'étant pas autorisée en France. En cas de recours à une insémination artificielle avec donneur anonyme (IAD), l'enfant n'a qu'un seul parent juridique. Si sa mère biologique se marie avec sa compagne, celle-ci pourra donc l'adopter. C'est sans nul doute dans cette hypothèse là que la loi trouvera le plus son utilité. 
 
Dans le cas d'un couple d'hommes ayant recours à une gestation po
ur autrui (GPA) à l'étranger (Etats-Unis, Inde par exemple), plusieurs hypothèses sont possibles. Si figurent sur l'acte de naissance le nom du père biologique et celui de la femme qui a porté l'enfant, le compagnon du père ne pourra vraisemblablement pas adopter en plénière, puisque cette adoption provoque une rupture de lien entre la famille d'origine et l'enfant adopté. Il pourrait théoriquement faire une adoption simple avec l'accord de la mère porteuse. Cependant, avant même que puisse être envisagée une adoption, le père biologique devra faire inscrire son enfant à l'état-civil français.
Ce qui se heurte régulièrement à l'opposition du parquet, compte tenu du mode de conception.


Que va changer la loi pour les couples qui ont un enfant né d'une précédente union ?

Si un homme ou une femme ont un enfant né d'une liaison hétérosexuelle, mais se séparent et se marient avec une personne de même sexe, leur conjoint pourra adopter l'enfant. Si le parent biologique est décédé, a abandonné l'enfant ou s'est vu retiré l'autorité parentale, ce sera une adoption plénière. Sinon, ce sera une adoption simple, les parents biologiques devant donner leur accord. Mais ''le juge pourrait le refuser l'adoption car elle ferait perdre au père son autorité parentale '', redoute Me Mécary, avocate spécialiste du droit de la famille. 


Que va changer la loi dans les projet de coparentalité ? 

Si un couple de femmes et un couple d'hommes décident de faire un bébé ensemble, juridiquement l'enfant aura un père et une mère. Dans ce cas, la loi ne devrait rien changer car même si l'adoption par un conjoint sera possible, "cela supposerait que le tribunal accepte de prononcer ces adoptions, qui donneraient juridiquement à l'enfant plus de deux parents. Or une telle configuration familiale est très loin de notre imaginaire de la famille", estime Me Mécary.

Quels seront les changement de terminologie dans le code civil ? 
 

Les mots "pères" et "mères" seront remplacés par "parents" dans le code civil et plusieurs autres codes relatifs au travail, aux transports, à la famille. Le terme "mari et femme" sera remplacé par "époux".



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Dans certains pays , "des attestations de non-homosexualité"


Environ 70 pays dans le monde condamnent encore l'homosexualité. Une vingtaine de pays autorisent l'adoption par des couples homosexuels. Seuls trois pays, les Etats-Unis, le Brésil et l'Afrique de Sud pourraient potentiellement répondre aux demandes des couples homosexuels.
Certains pays comme la Chine ou le Vietnam, peuvent demander de produire des attestations de non-homosexualité.
Aux Etats-Unis, les enfants adoptables à l'international ''présentent des profils très complexes : ils sont âgés de plus de sept ans et présentent des pathologies importantes''. L'AFA n'étant pas accréditée au Brésil, elle risque donc de n'avoir qu'un seul pays pour transmettre ces dossiers: l'Afrique de Sud .

 

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Sondage "POUR" ou "CONTRE" l'adoption de parent homosexuelleFri, 22 Mar 2013 17:24:00 +0100Fri, 22 Mar 2013 17:24:00 +0100http://gastipannier.cowblog.fr/sondage-pour-ou-contre-l-adoption-de-parent-homosexuelle-3230704.htmlchaimasarahQu'en pense l'opinion publique ?
Les nombreux sondages effectués ces dernières années montrent que le mariage gay est moins clivant que l'adoption.Le mariage gay.
 Les Français sont remarquablement constants sur le mariage homosexuel : depuis 2004, soit depuis 8 ans, le chiffre des opinions favorables au mariage gay se maintient au dessus de la barre des 60%. Depuis l'été dernier, il caracole même à 65%. Un basculement s'est opéré en une décennie : en 2000, seulement 48% des Français y étaient favorables, 50% opposés. Plus généralement, 87% des sondés pensent que l'homosexualité est "plutôt une manière comme une autre de vivre sa sexualité". Ils étaient seulement 54% à le penser en 1986 et 67% en 1996. 
L'adoption par des couples homosexuels.
La question de l'adoption continue de diviser les français.
En 2000, seulement 29% des Français se disaient favorables à la reconnaissance d'un droit à l'adoption. Mais si l'opinion a bien progressé depuis dix ans à mesure que le débat progresse, les Français se montrent de plus en plus réticents : l'an dernier, ils étaient 58% à y être favorables, aujourd'hui ils ne sont plus que 52%.
Tous les types d'adoption ne suscitent pas la même adhésion. Ainsi, 66% des sondés pensent que "les femmes lesbiennes qui vivent en couple devraient avoir le droit d'adopter l'enfant de leur conjointe" et 56% sont favorables à ce qu'elles "puissent avoir recours à l'insémination artificielle pour avoir un enfant".


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Récapitulatif du diagramme ci-dessus :


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Les étapes de la demandeFri, 22 Mar 2013 14:51:00 +0100Fri, 22 Mar 2013 14:51:00 +0100http://gastipannier.cowblog.fr/les-etapes-de-la-demande-3227940.htmlchaimasarah
 
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Toute demande d’adoption, qu’il s’agisse de l’adoption d’un pupille de l’Etat ou d’un enfant étranger, ne peut aboutir qu’à condition de satisfaire à plusieurs exigences légales et d’accomplir en France un certain nombre de démarches obligatoires. L’obtention de l’agrément en vue d’adoption est un préalable indispensable à la démarche d’adoption.


Pourquoi l’agrément ?


L’agrément n’est en aucun cas un label de bon ou de mauvais parents, mais le service de l’Aide sociale à l’enfance se place dans l’optique de l’accueil d’un enfant qui a, quel que soit son âge, déjà une histoire peut-être difficile et à qui il souhaite donner toutes ses chances. Ainsi l’agrément est une garantie pour l’enfant et pour les parents adoptifs. Il est aussi une préparation.


L’obtention de l’agrément


Toute personne qui envisage l’adoption d’un enfant, français ou étranger, doit être titulaire d’un agrément. S’il est indispensable pour adopter, l’agrément n’équivaut pas à un droit automatique à se voir confier un enfant : un tel droit ne peut exister.



L’agrément est le résultat d’une analyse de :


* La cohérence et la fiabilité de votre projet d’adoption
* Votre capacité à vous identifier comme parents d’un enfant et à inscrire celui-ci dans votre histoire et votre filiation pour une destinée commune.



Comment obtenir l’agrément et dans quel délai ?


L’agrément est délivré par le service de l’aide sociale à l’enfance (ASE) placé sous l’autorité du président du conseil général du département dans lequel vous résidez. L’agrément doit être exprès (document écrit) et intervenir dans les neuf mois à dater du jour de la confirmation de la demande.



Quelles sont les particularités de l’agrément ?


* Une fois l’agrément obtenu, il est valable 5 ans. Les adoptants doivent confirmer annuellement, auprès des services de l’ASE, leur projet d’adoption. Au delà de cinq ans, une demande de renouvellement ou une nouvelle demande d’agrément (en cas de modification du projet) doit être déposée.
* L’agrément ne peut valider qu’un seul projet d’adoption.
* L’agrément peut préciser l’origine, l’âge et le nombre de l’enfant (ou des enfants), si les adoptants en expriment le souhait.



 

Comment doivent procéder les ressortissants français résidant à l’étranger ?


 

* Ils doivent être titulaires d’un agrément.
* Ils sont invités à prendre contact avec le service de l’aide sociale à l’enfance du département de leur dernière résidence ou dans lequel ils ont conservé des attaches.
* Ils doivent également prendre contact avec le consulat de France dont ils dépendent qui leur indiquera les démarches à effectuer. (lien fiches pays)

 

 


Que faire en cas de refus d’agrément ?


En cas de refus d’agrément, vous avez la possibilité d’entreprendre un recours gracieux auprès du président du conseil général et, le cas échéant, un recours contentieux auprès du tribunal administratif compétent. Le refus d’agrément a une validité de trente mois. Au-delà vous pourrez déposer une nouvelle demande d’agrément.

 


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Adoption simple ou adoption plénière ?Wed, 20 Mar 2013 23:27:00 +0100Wed, 20 Mar 2013 23:27:00 +0100http://gastipannier.cowblog.fr/adoption-simple-ou-adoption-pleniere-3229803.htmlchaimasarah  http://gastipannier.cowblog.fr/images/IMG2013020800384-copie-4.jpg

Source: Ministère de la justice-enquête adoption 2012



L’adoption, la création d’un lien de filiation par une décision de justice. Elle existe sous deux formes : simple ou plénière.

 


Dans les deux cas, l'adoptant exerce l'autorité parentale, mais les autres conséquences sont totalement différentes. Seule l’adoption plénière fait définitivement entrer un enfant dans une famille d’adoption et coupe tout lien avec sa famille d’origine.
La requête en adoption simple est adressée au procureur de la République ou au tribunal de grande instance. Le jugement est mentionné en marge de l'acte de naissance.
En ce qui concerne l’adoption plénière, la procédure exige un agrément préalable de la DDASS. Après l'agrément, l'enfant est placé, en principe, pendant au moins deux mois au foyer de l'adoptant.Ce dernier dépose ensuite une demande auprès du procureur de la République ou du tribunal de grande instance, qui dispose de six mois pour prononcer le jugement d'adoption plénière.Plus personne, pas même l'intéressé, ne peut avoir accès à l'acte de naissance d'origine.

L’adoption internationale, nationale, et intrafamiliale : Définitions  l’adoption internationale est ici entendue à l’égard d’enfants, n’ayant aucun lien  préalable à l’adoption (filiation, alliance, affectif…) avec  l’adoptant, et pour lesquels la procédure a été engagée à l’étranger, dans le pays de naissance de l’enfant ; l’adoption nationale s’entend à l’égard d’enfants sans lien avec l’adoptant, et  pour lesquels la procédure a été engagée en France sans qu’aucune procédure  préalable connue n’ait été engagée à l’étranger ; ƒ l’adoption intrafamiliale est fondée sur l’existence d’un lien entre l’adoptant et adopté. Il s’agit essentiellement de l’adoption de l’enfant du conjoint ou d’un exconjoint, que cet enfant soit né en France ou à l’étranger, la procédure pouvant alors avoir été engagée dans le pays d’origine de l’enfant. 




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Si j'adopte en FranceWed, 20 Mar 2013 15:40:00 +0100Wed, 20 Mar 2013 15:40:00 +0100http://gastipannier.cowblog.fr/si-j-adopte-en-france-3227946.htmlchaimasarah

J’adopte en France

Une fois votre agrément obtenu, vous êtes inscrit d’office sur la liste départementale, qui est mise à jour régulièrement.


 

Votre candidature est présentée au conseil de famille. Il est tenu compte à la fois de votre ancienneté sur la liste et des caractéristiques de votre projet.

 


Pour répondre aux besoins des enfants en attente d’un projet d’adoption, des conseils généraux, avec le concours de l’Etat, se sont associés afin de faciliter la recherche de parents adoptifs, d’assurer une préparation approfondie de l’enfant à ce projet et de permettre un accompagnement spécifique de la future famille.

 

Des missions d’organisation régionale de concertation sur l’adoption (ORCA) ont ainsi été mises en place en Lorraine et en Normandie.

 

Par ailleurs, au niveau national, l’Etat a mis en place un système d’information pour l’adoption des pupilles de l’Etat (SIAPE) qui a pour objectif d’aider les conseils généraux dans leur recherche d’une famille pour les enfants en attente d’un projet d’adoption. Tout candidat agréé dont le projet d’adoption est ouvert à l’accueil d’un enfant à besoin spéciaux (déjà grand, présentant des problèmes de santé ou de handicap, appartenant à une fratrie…) peut demander au service de l’aide sociale à l’enfance de son département de l’inscrire sur le SIAPE.

 

L’apparentement


Pour l’adoption d’un enfant français, l’apparentement est la proposition qui est faite, par le tuteur et le conseil de famille, à la famille, d’accueillir l’enfant reconnu comme adoptable, en vue de son adoption. Il n’équivaut pas à une décision d’adoption.



La mise en relation

 

Elle peut être assurée par les services des conseils généraux et, dans certains cas, par des organismes autorisés pour l’adoption.

S’agissant des pupilles de l’Etat, ce sont les services de l’aide sociale à l’enfance (ASE) qui mettent en relation les enfants avec leur future famille adoptive. Ils reçoivent d’abord les futurs parents pour leur communiquer tous les éléments d’information sur l’enfant : histoire, état de santé, âge … et leur laissent un délai de réflexion avant d’organiser la première rencontre.  En effet, lorsque l’accueil d’un enfant vous sera proposé, il vous appartiendra de vous engager et d’en prendre la responsabilité. Toutefois, si vous pensez ne pas avoir la capacité d’assumer cette mise en relation, vous aurez la possibilité de refuser l’accueil de l’enfant en vue de son adoption. Votre réponse positive se concrétisera par la signature d’un contrat de placement avec le tuteur de l’enfant ou son représentant.

Pour un nouveau-né, la période de mise en relation, à la pouponnière ou dans la famille d’accueil, est d’environ une semaine pendant laquelle sont organisées des rencontres parents/enfants. Ces rencontres sont accompagnées par les professionnels du service de l’adoption. 

Pour un enfant plus âgé, la durée de mise en relation (un à trois mois) varie en fonction de la personnalité de l’enfant, de son histoire et du degré de préparation et d’investissement de chacun des acteurs (l’enfant, la famille d’accueil ou le foyer, les futurs parents). Tous les acteurs de la construction de l’histoire d’adoption sont accompagnés dans ce processus par les professionnels du service de l’adoption (assistante sociale et psychologue).


Ensuite, les professionnels du service de l’ASE continueront d’assurer un suivi dans un double objectif :

 


* D’une part, vous accompagner au cours des premiers mois d’accueil de l’enfant
* D’autre part, vérifier la bonne intégration de l’enfant au sein de votre famille

 

Ils restent présents par des visites à domicile pour le suivi de l’adaptation de l’enfant et de la famille jusqu’au prononcé du jugement d’adoption.

 

Un bilan d’adaptation est présenté au conseil de famille après 6 mois de vie en famille. Il est joint au dossier pour la requête en adoption afin d’éclairer la décision du parquet sur l’opportunité de prononcer le jugement d’adoption.

 

 

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Si j'adopte a l'étrangerTue, 19 Mar 2013 11:06:00 +0100Tue, 19 Mar 2013 11:06:00 +0100http://gastipannier.cowblog.fr/si-j-adopte-a-l-etranger-3228520.htmlchaimasarahL’adoption internationale s’inscrit dans le respect : des dispositions de la Convention de La Haye ; du droit français ; du droit de l’Etat d’origine.

1 - Choisir votre démarche :

* Par l’intermédiaire de l’Agence Française de l’Adoption ou d’un organisme autorisé pour l’adoption (OAA) internationale.

* Dans le cadre d’une démarche individuelle (indépendante). Une fois titulaire de l’agrément, vous avez la possibilité : De vous adresser à l’Agence Française de l’Adoption L’AFA est un groupement d’intérêt public, constitué de représentants de l’Etat ainsi que de l’ensemble des départements et d’associations.

Elle a pour mission d’assurer :
*L’information et l’aide à la constitution des dossiers de demandes d’adoption

*Le traitement et le suivi des procédures individuelles d’adoption internationale dans le cadre de la convention de La Haye et dans les autres Etats pour lesquels elle est habilitée à intervenir, par le ministère des affaires étrangères.

*De mener une procédure individuelle (indépendante), sous réserve que la loi de l’Etat d’origine de l’enfant le permette. Ils vous appartient de prendre en charge toutes les démarches administratives et judiciaires.


Pour exercer ses fonctions, l’AFA s’appuie :

*En France, sur des correspondants départementaux 

*Dans des pays d’origine des enfants, sur des correspondants locaux. De vous adresser aux Organismes Autorisés pour l’Adoption (OAA) Ce sont des personnes morales de droit privé, au nombre de 41, exercent une activité d’intermédiaire pour l’adoption ou le placement en vue d’adoption de mineurs de quinze ans. Les OAA doivent être autorisés par les conseils généraux des départements dans lesquels ils souhaitent intervenir. En outre, s’ils veulent exercer une activité à l’international, ils doivent être habilités par le ministère des affaires étrangères et européennes pour le pays dans lequel ils veulent prendre en charge le dossier des adoptants. Enfin, ils doivent être également accrédités par les autorités du pays d’origine (accréditation).

*Aide à la préparation du projet d’adoption et conseils pour la constitution du dossier
*Information sur les aspects techniques et juridiques de la procédure d’adoption
*Détermination, en relation avec les autorités compétentes du pays d’origine, des modalités de choix d’une famille adoptive
*Acheminement des dossiers des candidats à l’adoption vers des personnes ou institutions compétentes pour prononcer l’adoption
*Suivi de la procédure prévue conformément au droit en vigueur
*Accompagnement de la famille après l’arrivée de l’enfant.


On peut distinguer deux démarches :

*Par l’intermédiaire de l’Agence Française de l’Adoption ou d’un organisme autorisé pour l’adoption (OAA) internationale.
*Dans le cadre d’une démarche individuelle (indépendante). Par ailleurs, le déroulement de vos démarches dépend des exigences juridiques en vigueur dans l’Etat d’origine et/ou de la bonne application de la Convention de La Haye.

2 -  Constituer votre dossier en France
Comment constituer son dossier ?


Quelle que soit la démarche choisie, le dossier à constituer en vue d’une adoption internationale doit comporter un certain nombre de documents. Il convient de ne constituer votre dossier qu’après avoir choisi le pays. La liste des documents exigés par les autorités étrangères varie en effet d’un pays à l’autre. Pour mémoire on retiendra au minimum les pièces suivantes : Pièces d’état civil du ou des adoptants :

*Actes de naissance, de mariage 
*Jugement de divorce, s’il y a lieu
Attention : lors de la constitution de votre dossier, vérifiez la durée de validité des documents administratifs.

Le dossier établi par l’Aide sociale à l’enfance, comprenant notamment :

*L’enquête sociale et psychologique
*Les certificats médicaux ;
*L’agrément
*Un extrait de casier judiciaire (bulletin n° 3). Pour demander en ligne un extrait de casier judiciaire sur le site internet du Ministère de la Justice. Les pièces justificatives de votre situation économique : Exemples : fiches de salaire, déclaration de revenus, avis d’imposition, titres de propriété mobilière et immobilière. Tous ces documents doivent être traduits dans la langue de l’Etat concerné et, le cas échéant, être légalisés ou revêtus de l’apostille.

3 -  Se rendre dans l’Etat d’origine selon le pays choisi.

votre présence effective à l’étranger est obligatoire ou facultative. Vous devez vous renseigner pour savoir si l’entrée et le séjour dans le pays d’origine de l’enfant sont soumis à visa ou pas. Dans l’affirmative, vous devrez solliciter un visa d’entrée auprès du Consulat ou des services consulaires de l’ambassade de cet Etat. Pour certains, une autorisation préalable doit être obtenue auprès de l’autorité diplomatique ou consulaire de l’Etat dont l’enfant a la nationalité, et ce avant tout départ à Si vous ne pouvez vous rendre sur place, vous devrez vous assurer auprès des autorités étrangères que vous êtes bien dispensés d’être présents lors des formalités judiciaires et/ou administratives locales. Si vous avez recours à un avocat, les modalités de votre représentation devront être précisées en accord avec celui-ci. Vous devrez alors lui donner une procuration qu’il est recommandé de faire établir devant notaire avant votre départ ou dans la forme requise par les autorités étrangères. (lien fiche pays)


4 -  Le traitement du dossier dans l’Etat d’origine Le déroulement et les étapes d’une procédure d’adoption peuvent varier en fonction de l’Etat d’origine.

Pour plus de renseignements, veuillez vous référer aux fiches pays. (lien fiche pays) Quel que soit le pays choisi, le traitement de votre dossier, comportera généralement : L’apparentement : c’est la proposition qui est faite à la famille d’accueillir l’enfant reconnu comme adoptable, en vue de son adoption. Il n’équivaut pas à une décision d’adoption. Ce principe est conforme à l’article 17 de la Convention de La Haye du 29 mai 1993 sur la protection de l’enfant et la coopération en matière d’adoption internationale ; Une décision judiciaire ou administrative (selon la loi de l’Etat d’origine), qui valide l’ensemble de la procédure locale et autorise officiellement l’adoption par des ressortissants étrangers ; Un visa long séjour adoption (VLSA) délivré à l’enfant adopté par le Consulat de France compétent, après interrogation de l’Autorité Centrale de l’Adoption internationale (ACAI). Ce visa permet aux autorités françaises de valider la procédure d’adoption, d’autoriser l’arrivée en France de l’enfant, et vous sera nécessaire dans le cadre des démarches judiciaires à accomplir en France (jugement d’adoption, transcription…).
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